Bientôt trois semaines sans bloguer, et voilà que je reprends la plume pour un billet dans un ton un peu plus sérieux que d'habitude, pour m'exprimer sur un sujet récent qui me tient à cœur, et que je ne peux laisser passer sans en parler, étant donné qu'il concerne ce blog. Quand je dis "je", j'utilise la première personne car c'est moi qui écrit, mais je devrais dire "nous" puisque Marie-Anaïs est aussi concernée par cette histoire.
L'histoire en question, c'est une lettre des avocats de Wilogo nous demandant de censurer un commentaire posté sur notre blog il y'a quelques jours. Comme je ne souhaite pas tomber dans les lamentations stériles mais plutôt aller de l'avant, en essayant d'être pédagogique en reprenant du début ma relation avec Wilogo, ce billet risque d'être énooooorrrmmément long, donc prenez un café (thermos) installez vous bien, et moi de mon coté je vais essayer de faire des sections pour faciliter la lecture. Si vous avez la flemme de tout lire (mais vous avez tort, c'est très intéressant) foncez à la fin
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