Les appels à cotisation de l’IRCEC et les débats sur la hausse de la CSG ont fait réagir les auteurs en général et les auteurs de BD en particulier, qui ont eu tôt fait de crier à l’assassin et à se plaindre que cette hausse allait les mettre sur la paille, voire les tuer. Devant une telle levée de boucliers, je pense qu’il est urgent que les auteurs comprennent que s’ils ne s’en sortent pas avec un des régimes de cotisation les plus avantageux existant, c’est que le problème n’est pas le régime, mais les auteurs eux-mêmes.
dimanche 12 novembre 2017
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